Pourquoi avons-nous besoin des médecines douces dans nos vies ?

Pourquoi entend-on si souvent parler des médecines douces ?

C’est indéniable : les médecines douces (ou médecines alternatives), dont l’ostéofluidique que je pratique, connaissent un essor remarquable en ce début de siècle. Ces médecines alternatives recouvrent un éventail assez large de possibilités, parmi lesquelles on retrouve tout ce qui a trait à l’énergétique (soins énergétiques, magnétisme, reiki), celles se basant essentiellement sur des soins corporels (ostéopathie, acupuncture, aromathérapie) ou des thérapies comportementales et cognitives (hypnose, EMDR, sophrologie).

Pourtant, targuées d’être « non-conventionnelles », elles restent la cible d’une certaine méfiance d’une partie de la population. Sous couvert de ne pas être reconnues au même titre que les différentes pratiques de la médecine occidentale, celles-ci sont souvent décrédibilisées, voire, dans certains cas extrêmes, accusées d’aggraver la situation de certains patients. Qu’en est-il réellement ?

Médecines douces : les alliées de la médecine conventionnelle

Beaucoup de personnes pensent que ces pratiques alternatives se placent en opposition directe à la médecine conventionnelle. Grave erreur ! Le but des médecines douces n’est pas d’inciter les gens à tourner le dos à la médecine classique mais de proposer un soin complémentaire, un accompagnement supplémentaire dans le seul but de la guérison complète du patient.

Prenons en exemple les maladies difficilement soignables, voire celles dites « incurables » qui posent un réel défi à la médecine moderne. Dans certains cas, comme celui des maladies auto-immunes (le corps s’attaque à lui-même), la médecine conventionnelle peine à offrir des solutions durables et satisfaisantes à ses patients. Se heurtant à ses propres limites, elle se concentre essentiellement sur la réduction des symptômes les plus handicapants, ne proposant donc qu’un soulagement partiel. C’est là que les médecines alternatives entrent en jeu. Car plutôt que de s’attarder uniquement sur le corps physique de la personne souffrante et la partie visible de la maladie, elles vont tenter de réconcilier le corps et l’esprit en travaillant sur les deux à la fois. Elles vont donc offrir un autre type de réponse aux maladies, et aider le diagnostic de la médecine classique en agissant sur d’autres paramètres.

Comment l'ostéofluidique peut compléter un traitement médical

Les soins par l’ostéofluidique que je propose sont un excellent exemple de cette tentative de réconciliation corps-esprit. En effet, les soins se basent autant sur le corps, avec le rééquilibrage énergétique des organes vitaux, que sur le psyché du patient. La séance comprend deux temps d’échanges entre vous et moi : un temps avant le soin afin de déterminer vos attentes, et un temps après le soin afin que je puisse vous délivrer un bilan de mon ressenti personnel sur votre situation.

Dans le cas des maladies auto-immunes comme par exemple le psoriasis, les traitements préconisés par les dermatologues se composent généralement de crèmes apaisantes à appliquer sur les zones en crises, ainsi que d’anti-inflammatoires et d’immunosuppresseurs à prendre par voix orale.

Ce traitement n’est pas incompatible avec le soin ostéofluidique qui se base sur la cause émotionnelle du problème : étant une maladie de la peau, le plus souvent (ce n’est pas systématique) il s’agira d’une blessure d’abandon vécue dans le passé. Pendant le soin, on va chercher avec le patient à identifier la blessure à l’origine du mal. On travaillera aussi directement sur l’inflammation de la peau et le système immunitaire par l’énergétique. Le soin se fait sans contact, donc sans risque de toucher les zones déjà fragilisées par la maladie et ainsi éviter toute douleur supplémentaire.

En collaboration avec Amandine Dhellemmes.

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